Deux autres lignes de production ont été mises en service un mois plus tard, portant la capacité totale à plus de 750 tonnes par jour. On estimait alors que les boues restantes (150 à 160 000 tonnes), accumulées sur l'île au cours des années où seul le traitement primaire était actif, pouvaient être converties en biocarburant au cours des six premiers mois d'exploitation.
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